Dans le jardin de mon père, si joli, si malin, si joyeux et coloré… Je sais qu’on jardine son terrain avec patience, comme on s’applique à vivre au mieux sa vie. Et je sais aussi la joie de cette lenteur, de l’espoir heureux qu’on met dans chaque graine. Alors quand je regarde mon propre jardin, si pauvre, je me surprends à penser que cet hâvre de paix est à ma portée. Faut que je me bouge mais ça vaut la peine non ?
cette ^photo est phénoménale !