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3 jours à Santorin

Après cette année compliquée, nous attendions les vacances avec plus d’impatience que d’habitude. Vous aussi non ? On a décidé de partir dans les Cyclades en débutant par 3 jours à Santorin. Pourquoi la Grèce ? On visait l’Ecosse normalement mais avec le covid, on s’est rabattus sur le premier pays qui a déclaré qu’il ouvrirait ses frontières pour les grandes vacances. Pas un choix de cœur donc mais on ne se plaint pas du tout.

Nous allons donc visiter trois îles : Santorin, Amorgos et Naxos. Nous y sommes pour le moment avec nos 3 petits et mon meilleur ami/associé. Samedi prochain, ErwanouGentilLoup et son amoureuse nous rejoindront, ainsi que les familles d’un de mes frères et une de mes soeurs + mes parents. Yes, voyage en famille.

D’ici-là, on est 6 et on visite tranquillement Santorin (Santorini pour les locaux). On a séparé l’île en trois zones, histoire de les explorer de manière plus logique et plus profonde.

3 jours à Santorin : infos pratiques

Vous me demandez souvent où je dors, comment je me déplace… Comme ce n’est pas moi qui gère et que cette partie ne me passionne guère, je reconnais que mes articles ne regorgent pas de ces infos… Mais je vais tenter de m’améliorer sur ce point et partager mes adresses, quelles soient bonnes ou mauvaises :).

Où dormir à Santorin ?

Pour ces 3 jours à Santorin, nous avons dormi dans le même hôtel, que Zoom a choisi parce que sa note était supérieure à 9 sur Booking et qu’il n’était pas trop cher au moment où on a réservé. Il était aussi bien situé pour pouvoir rayonner.

Angel studios Dalhia collection… C’est son petit nom ^^. J’ai trouvé l’accueil très sympa et dans l’ensemble la prestation correcte (comme le wifi ^^). La dame nous a même offert des petits cadeaux en repartant.

Deux bémols :

  • des lits bien durs…
  • un petit déj externalisé. On devait aller dans une boulangerie de l’autre côté de la rue et on a trouvé que ce n’était pas idéal pour deux raisons : un manque de souplesse dans le menu (tu ne peux pas remplacer les jus par de l’eau par exemple) + zéro démarche écologique : tout était dans du plastique, mais genre tout… Ils auraient pu nous mettre les salades de fruits dans des bols mais non, coupelles en plastoque…). Bref, assez désolant, je trouve, de nos jours.

Comment se déplacer ?

Pour ces jours à Santorin, nous avions pris le parti de nous déplacer en scooter pour plus de souplesse et pour sortir des lieux qui ne se font qu’en voiture.

On les a loués chez Santorini-rentme.com.

C’était des vieilles choses fatiguées mais franchement, j’ai eu l’impression que tout le monde avait les mêmes ^^. Je me dis qu’à défaut de choisir de l’électrique, ils réparent ce qu’ils ont et les utilisent jusqu’à la lie :).

Comment venir ?

Ben nous, on a pris l’avion, pour bien maltraiter notre démarche écolo du quotidien ;). C’était un direct à la base mais finalement la compagnie nous a contraint à faire le voyage en faisant un stop à Athènes (un peu du vol franchement, et stressant car il n’y avait qu’une heure entre l’arrivée et le redécollage).

Bref, on est arrivés le soir, on a pris les scooters, on a déposé nos sacs à dos et on est repartis à la plage la plus proche… à côté de l’aéroport, sous les avions ^^ ! On s’est dit que c’était marrant de faire tous ces kilomètres pour se retrouver à Orly ^^ !

On a mangé au bord de la mer, dans un restau comme tant d’autres au même endroit. Mais on a profité de la lune rasante et pleine, des étoiles qui s’allumaient et du bruit des vagues qui recouvraient allègrement celui des avions :). Et avec nos lunettes d’humains fatigués, on a conclu qu’on était bien.

Randonnée Fira – Oia

Le lendemain de notre arrivée, on a cherché quoi faire de ces 3 jours à Santorin. On n’avait rien prévu du tout en avance. On a simplement tapé les mots clés qui nous intéressent : randonnées à Santorin , activités dans la nature, éviter la foule à Santorin ^^

Vous voyez le genre… Et puis, je vous ai aussi demandé des conseils.

Bref, on s’est rapidement décidés pour faire LA randonnée de l’île : le chemin qui relie Fira à Oia. Il est indiqué à 3h30, le chemin est très entretenu, bien balisé (m’enfin, il n’y a que lui hein, difficile de se perdre…) et accessible à des enfants, si vous leur faites confiance pour marcher ce temps-là au soleil.

Donc pour cette première journée, on a exploré la zone Nord Ouest de Santorin.

Nous on l’a fait en bien moins de temps (enfin, c’est faux, on a mis le même temps mais on a rajouté une escalade et plein de temps de pause). Bref, rien s’insurmontable et d’ailleurs on a croisé des familles avec des jeunes enfants qui se promenaient aussi sur ce sentier.

La promenade sur la ligne de crête, donc ça monte et ça descend. On part de Fira, la capitale de l’île, on passe par Imérovigli pour finir à Oia donc. Tout le long, on peut observer les petites îles qui témoignent de la terre volcanique des Cyclades.

Pour les amoureux de géologie, cette île est le résultat d’un phénomène volcanique rare. Santorin est le haut d’un volcan qui a vécu une caldeira, nom technique pour désigner une dépression circulaire au sommet. Le mot caldeira vient du même mot que chaudron. Et quand on sait qu’à certains endroits, les eaux sont toujours chaudes, on comprend bien le phénomène de chaudron en regardant l’île vue du ciel. Santorin, c’est la bouche du volcan.

Et ça explique aussi pourquoi en dehors des habitations, tout le reste est désertique. On est sur un caillou où pas grand chose ne pousse.

Parfois le chemin traverse des villes, parfois il est en pleine nature. Les deux versions sont fort jolies et le sentier est bien entretenu.

Dès qu’on quitte une ville et qu’on s’éloigne, on a la belle vue de celle-ci en cadeau :).

Tout est extrêmement photogénique mais comme je le disais à mes enfants, je trouve ces villages moitié beaux, moitié moches.

Beaux parce que le bleu et le blanc, la mer, l’architecture des barbapapas, le soin porté aux choses et à l’entretien des maisons… Ca a bien du charme.

Moches par que ça manque de vraie vie. Tout n’est qu’hôtel de luxe et de restaurants à touristes. Je me demande où vivent les habitants. Pis parce que ça ne respire pas l’écologie et le bon sens. Tout est fait pour la consommation, les photos Instagram et le rêve d’une existence hors des réalités du monde.

Après, si on parle juste photo, il y a un côté très graphique que j’aime bien en Grèce. Enfin, dans les Cyclades surtout. Difficile de louper ses clichés ^^ !

Quoi qu’il en soit, nous n’avons pas boudé notre plaisir. Après un mois de pluie en France, c’était vraiment chouette de déambuler en tenue légère, sous le ciel azur, la chaleur et le vent rafraichissant.

Pour ceux qui sont motivés à refaire la rando dont je parle, je vous conseille simplement d’embarquer de l’eau à profusion ^^. Après, tout le long de chemin, des gens vous en vendront au besoin : de l’eau donc mais également des fruits.

Nous on a fait un peu de rab en escaladant cet espèce de mini montagne, qui n’est pas prévue dans la route : Skaros Rock, qui est un promontoire rocheux volcanique, où figurent les restes d’un château. Je ne les ai pas vues moi les ruines… Mais c’était un extra très sympa, avec une belle vue.

Les enfants n’étaient pas motivés alors ils sont restés en haut du chemin et nous ont regardé de loin crapahuter.

Pareil, l’impression de marcher sous le cagnard, mais bon… était-ce vraiment qu’une impression ? ^^

Au loin, l’objectif de la marche : la ville d’Oya. On dirait de la neige mais ce sont les maisons blanches perchées de la ville qui créent cet effet.

En déambulant, je me suis fait la réflexion que j’étais heureuse d’avoir des enfants qui marchent bien. La dernière râlouille toujours un peu mais je sens qu’on est dans du gros mieux. Je lui en ai fait part pour la féliciter. Deux secondes après, elle râlait ^^. Elle avait dû oublier qu’elle avait cette possibilité.

De mon côté, j’ai un très bon pas. Comme dit mon père : “Cécile, elle n’abime pas le terrain“.

Pire, j’ai du mal à marcher lentement. C’est étrange, mais ça me fatigue de ne pas suivre mon rythme. Heureusement, comme dans la famille, on a tous de longues jambes, ça suit plutôt bien :).

Pis bon, j’ai dû habituer mes enfants à mon rythme forcément. Bref, ils avancent d’un pas vif et ça me plait.

En revanche, ils ont du mal à garder un bout de tissu, même en plein cagnard… Alors on les tartine de crème solaire indice 50 pour sécuriser…

En chemin, on croise peu de gens. Mais presque tous sont français ^^ ! C’est rigolo. C’est une activité hexagonale la rando ?

Et hop, on arrive à Oia. Comme on a la dalle, on cherche un restau qui peut nous accueillir à 6. Après quelques refus, on se rabat sur l’un d’entre eux, pourtant mal noté. Je n’ai pas pris de photos mais nous, on a beaucoup aimé l’accueil au contraire, ainsi que les plats. Rien d’original versus les autres restaus, on retrouve toujours la salade grecque, le khebab à l’assiette, etc… mais on a trouvé que c’était meilleur qu’ailleurs !

L’adresse : Alkyona Sunset, qui donc, comme son nom l’indique est plutôt mieux situé pour voir le coucher du soleil que l’inverse :).

En revanche, comme on devait revenir en bus et que celui-ci était sur le point de partir, on n’a pas pris le temps de visiter Oia. Je ne saurais vous dire si la ville est aussi touristique que sa copine Fira. J’ai l’impression que c’est un peu kif kif.

En prenant le bus pour retrouver les scooters qu’on avait laissés à Fira, on a observé le chemin côtier. C’est ainsi qu’on a repéré une plage déserte où on a décidé de revenir ensuite.

Bien nous en a pris. C’était effectivement désert, les vagues bien sportives comme on aime. En revanche, un peu comme partout ailleurs, des tas de galets qui niquent un peu les pieds et parfois ailleurs quand ils sont projetés par les flots. Ouille ouille…

On a fini cette première journée dans un restau avec une jolie vue :). Son nom : White lounge Restaurant.

Ce que la photo ne montre pas, c’est qu’on a fini emmitouflés dans des couvertures prêtées par le restau car non seulement les températures redescendent vraiment vite mais en plus, ça souffle +++ ! Mais j’en garde un excellent souvenir. On était bien, la vue était magnifique. On a pu observer le bal des voiliers venus en masse assister au coucher du soleil puis repartir vers leurs pénates.

Magie…

Santorin en famille, jour 2

Pour la deuxième journée de nos 3 jours à Santorin, nous avions promis plus de plage aux enfants. Nous sommes partis explorer la zone Sud Ouest.

Nous avons concentré les visites à la matinée pour pouvoir buller l’apprem sur les galets et le sable noir de l’île.

Première visite ? Le phare d’Akrotiri !

Je n’ai pas trop de photo du phare en question mais on le voit sur celle-ci. Et devant, un Instagam father…

Et sa fille. Je rigole mais en fait, ce n’est pas trop le genre de MaëllePrincesse. Déjà, elle a oublié son tel et elle le vit bien. Pis les pauses sunset dans des longues robes vaporeuses, ça ne fait pas trop partie de ses codes.

En revanche, un truc que j’observe monter, c’est le goût de SiloëJolieFée pour la photo. En voilà une qui mitraille et qui a (je trouve) un bon œil déjà.

Mais revenons à nos moutons grecs.

L’endroit est magnifique, on y voit bien la caldeira de l’île car on est à la pointe basse de la “lune” que forme l’île.

C’est potentiellement un peu escarpé aussi mais rien de non praticable non plus.

Ensuite, nous sommes remontés sur nos scooters, à la cool, en s’arrêtant dès qu’on était intrigués.

J’ai trouvé l’île très peu cultivée. Je sais bien que le temps et le sol ne se prêtent pas facilement à une agriculture abondante. Mais même dans les jardins de particuliers, peu de potagers par exemple.

Mais partout, il y a ces sortes de “buissons” qui de loin ont l’air de mauvaises plantes. Ben pas du tout. Il s’agit de vignes, la seule espèce qui résiste à la pauvreté du sol (de la cendre volcanique assez acide) et à l’érosion du vent. La plante s’y étale à même le sol, et les viticulteurs la tressent comme des corbeilles ou un nid inversé afin de protéger le précieux raisin en conservant toutes l’humidité possible. Les pieds de vigne sont souvent très très vieux.

Sur Internet, on avait lu “white beach”, alors on s’est dit qu’on allait trouver LA plage avec du sable blanc. Point du tout. Le blanc fait référence à la couleur de la roche. Et c’est vrai que c’est rigolo. La montagne est toute blanche et vers la pointe, elle vire brusquement au noir.

Pause au musée archéologique de Akrotiri

Nous avons poursuivi par le musée archéologique de Akrotiri. Il y a 50 ans, les restes d’un village enseveli sous des cendres volcaniques ont été dégagés. Ca fait un peu Pompei sauf que visiblement, les humains avaient dû réussir à évacuer avant car aucun corps n’a été trouvé.

Le site est désormais protégé sous une toiture et les fouilles continuent encore si j’ai bien compris.  Cette ville date de la civilisation des Cyclades (3e millénaire avant Jésus Christ). Elle a donc survécu à 3500 années grâce à une coulée de boue qui a tout moulé en attendant qu’on rouvre la boîte :).

L’ancienne cité d’Akrotiri avait l’air déjà très avancée en architecture : on construisait déjà des maisons à 2 ou 3 étages avec des escaliers, les rues étaient pavées avec des égouts et sur les murs, plein de magnifiques fresques.

Vous en connaissez dans doute certaines, comme le pêcheur aux coryphènes. Moi je l’avais déjà vu en tout cas. Des céramiques impressionnantes nous sont également parvenues intactes, témoins de la civilisation minoenne.

Bref, une visite qu’il aurait fallu faire avec un guide si on avait été plus malins.

A la place, on est allés manger ^^. Et j’ai beaucoup aimé ce restaurant, le Geromanolis. Accueil très sympa et surtout plats bien servis et frais.

Pas de photos. Désolée, je fais une détox autant que possible de mon téléphone alors je le laisse autant que possible rangé ^^ !

Ensuite, on s’est rendus enfin à la plage. On a choisi une plage un peu secrète et effectivement, on l’a partagée avec 2 autres personnes seulement.

Faut dire qu’elle était invisible de la falaise et difficilement accessible, ça grimpait / descendait sévère.

Le lieu aurait pu être parfait s’il n’avait pas été envahi de déchets rejetés par la mer. Alors, entre deux plongeons dans la mer, on a nettoyé ce qu’on pouvait avec le matos sur place. On a rempli des bidons et des sacs trouvés sur la plage. On a donc privilégié les petits trucs qui rentraient dans le goulot.

Mais bon, on était contents de notre récolte.

Même si, on ne l’a pas sauvée celle-là.

On a quand même pris le temps de laisser du mignon derrière nous. Je n’embarque plus de cailloux ou de coquillages de la plage mais j’aime bien faire un peu de land art. A ma mesure hein…

Ma méditation à moi.

On a fini la fin de journée à Pyrgos, un joli petit village qu’on s’est promis de visiter le lendemain, avec plus de temps et de lumière donc…

Nous on cherchait surtout un restau car après cette aprem à la plage, on avait un peu les crocs. Vous nous avez conseillé plusieurs fois le restaurant Pénélope mais il était complet les deux fois où on a tenté notre chance.

Faut dire que la Pénélope, elle tient un restau au pied de cette tour et il y a genre 4 tables :). Pas facile quand on arrive à 6.

Bref, on a un peu galéré à trouver une table où s’installer dans le village. Si on était descendus vers la route, on aurait moins eu de peine mais ça aurait été aussi moins charmant.

On a finalement pu poser nos cululus chez Rosemary et on ne l’a pas regretté. C’était fort bon, l’accueil chaleureux et je garde un souvenirs ému de cette kunele pleine de beurre, de sucre, de croustifondant…

Bref, on a beaucoup aimé Pyrgos, qui nous a semblé un peu moins touristique que les villes du coin.

Dernier jour à Santorin

Pour le dernier des 3 jours à Santorin en famille, nous avons commencé par prendre de la hauteur ! Direction le point le plus haut de l’île, à savoir le monastère d’Agios Ilias, qui est ouvert au public et dont on dit que la boutique est intéressante et les moines accueillants.

Nous on s’est contentés de la vue panoramique sur toute l’île ou presque.

C’est génial à faire quand on commence à connaître l’île et qu’on peut repérer les endroits parcourus durant ces 3 jours à Santorin.

Ca nous a permis de repérer un village non visité et on a décidé d’aller y faire un tour.

Le village d’Emporio

Bonne surprise. On a adoré ce petit village, tout mignon, bien plus authentique que les autres; simplement parce qu’on sentait que des gens y vivaient vraiment.

Je n’ai pas grand chose à dire de plus sur ce village en dehors qu’on a bien aimé déambuler dedans :). Et qu’on a eu l’impression d’être les seuls touristes ou presque.

En quittant Emporio, on croise au loin une rangée de vieux moulins à vent alors on s’est déplacés jusqu’à eux. Ils sont visiblement hors d’usage mais bien entretenus. Je suppose qu’ils datent d’une époque où la force du vent était une énergie très utile.

On peut bénéficier de la vue du village d’Emporio en face du coup, ainsi que du monastère qui est le truc minuscule en haut de la montagne.

Plage de Perissa à Santorin

Ensuite, on est partis se baigner dans la plage de Perissa, pour le coup très touristique, ce que ma photo ne montre pas. En tournant la tête à droite ou en regardant un peu plus loin à droite, on trouve une plage remplie de parasols à louer et de restaurants.

Et pas un brin d’ombre… car très peu d’arbre. Alors on a choisi un restaurant, celui-ci nous a offert les parasols et on a bullé toute l’aprem sur nos transats.

C’est rigolo car au même moment, Rita le chat parlait sur Instagram de son nouveau standard de plagiste en expliquant que maintenant, elle avait du mal avec la serviette sur le sable et qu’elle avait envie de ces transats ombragés avec la petite boisson qui va bien :). Je me suis sentie en synchronicité ^^ !

Je n’ai pas d’autres photos…

On a fini la journée à Pyrgos, en galérant une fois encore à trouver un restau pour tous les 6.

Mais on en a profité pour apprécier une dernière fois ce chouette endroit, parfois aussi pour les couchers de soleil.

C’est toujours chouette le spectacle du soleil qui nous dit au-revoir pour aller réchauffer la peau d’autres humains.

Sauf pour ceux qui ont la tête ailleurs 🙂

Et voilà…

Fin de ces 3 jours à Santorin. Le lendemain, on a pris le bateau pour Amorgos… Mais c’est une autre histoire grecque, que je raconterai plus tard.

J’espère que cet article vous a plu, diverti, inspiré, intéressé… Si c’est le cas, n’hésitez pas à me partager vos ressentis, j’adore les lire.

Je suis Cécile, slasheuse créative. J’alimente gracieusement ce blog depuis 2006. Vous pouvez aussi me suivre sur Instagram, Youtube ou Pinterest.
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Voir les commentaires

  • Un vrai régal cet article, merci ! J'aimerais beaucoup aller en Grèce, et un jour, j'irais mais pas en été, j'ai chaud rien qu'en regardant les photos. En attendant je suis arrivée à déchiffrer les panneaux écrits en grec et donc je suis contente ;-)

  • Top merci pour cette visite détaillée !
    Je note les idées pour plus tard, tu m’as donné envie!
    Et en attendant je profite de ces jolies images

  • c'est superbe merci merci merci (ça me fait voyager moi qui ne quitte pas le canapé)
    continuez à profitez (je vous fais confiance) et à suivre alors (bien la détox téléphone :) )

  • Merci pour cette visite par écran interposé !! Ça donne envie (la chaleur et le soleil notamment ! mais pas que !!!) Et les photos sont magnifiques !!! Je le note pour un prochain voyage en famille !! Profitez bien de la suite!!!

  • Merci pour cette visite par écran interposé !! Ça donne envie (la chaleur et le soleil notamment ! mais pas que !!!) Et les photos sont magnifiques !!! Je le note pour un prochain voyage en famille !! Profitez bien de la suite!!!

  • Merci Cécile pour cet article. J'ai vraiment aimé le côté authentique de ton partage. Je suis attirée par la Grèce pour ses villages blancs qui surplombent la mer et qui me rappellent la maison de ma mémé en Espagne. Mais , en te lisant je ne suis pas sûre d'aimer y aller car je suis allergique au côté ''artificiel'' de certains lieux où tout est prévu pour les vacanciers. J'attends la suite avec impatience 😊

  • Les Cyclades sont très connues des français et tu as de la chance d’y être cette année. En principe entre le 15/7 et le 15/8 Santorin grouille de monde partout y compris sur le sentier entre Fira et Oia.
    Je te recommande de visiter les îles ioniennes, Kefalonia et Zákynthos (Corfou trop bondée)
    Il y a des touristes mais ce sont des îles très verdoyantes et très peu connues des français.
    Par contre pas de site archéologique majeur.
    Et le Péloponnèse est très beau également et beaucoup beaucoup moins touristique

  • Merci pour ce beau reportage qui me change de lanpluoe et du brouillard ambiant ! Bonne continuation !

  • Merci Cécile! C'est passionnant de retrouver mes découvertes d'il y a 20 ans :-) et beaucoup plus de photos! Nous dormions à Oia et c'était magique. Moins de foule et de magasins pour touristes qu'aujourd'hui, j'imagine.

  • Hello
    Je suis affolée de voir ce qu’est devenu Santorin… Je suis dingue de la Grèce (et de ses habitants..) et ai énormément voyagé dans ce beau pays il y a au moins une bonne vingtaine d’année.. Santorin a bien sûr était une de mes destinations. Peu d’hôtels à l’époque et des restos sympas mais pas en quantité industrielle. Je logeais à l’époque chez l’habitant (on trouvait facilement !) et l’accueil y était très chaleureux. Je me souviens d’une soirée dans un petit restaurant où nous avions dîné. Après le départ des quelques touristes, des grecs locaux ont envahi l’établissement et nous ont invités à passer la soirée avec eux. Ils ont dansé, chanté bu et mangé avec nous. Ce fut une soirée mémorable. Et notre logeuse nous attendait tous les matins avec de la musique pour notre petit déjeuner. Voilà la Grèce telle que je l’ai aimée.

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