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Pourquoi j’aime les bonnes résolutions

Ah les bonnes résolutions. Souvent annoncées, beaucoup moquées, peu appliquées, elles ne remportent pas le succès qu’elles pourraient avoir. D’ailleurs c’est assez étonnant de voir le nombre de gens qui ont écrit sur les réseaux sociaux : “Moi je ne prends pas de bonnes résolutions cette année“, associé d’un commentaire explicatif plus ou moins lapidaire. Ça va du : “c’est nul” à “je ne les tiens jamais“, en passant par “ça ne sert à rien“.

En fait, il y a deux tendances. Ceux qui les évitent. Ils se sentent inspirés et affranchis, comme s’ils repoussaient fièrement une tradition désuète qui ne leur apporte pas grand chose. Et ceux qui ont envie de  s’y mettre. Plutôt volontaires, optimistes, ils se voient vite rangés dans la catégorie des naïfs, des utopistes… Limite, on compte les jours jusqu’à leur premier échec, on anticipe les prochains manquements et on rigole de leurs trop grandes ambitions.

Sans parler de ceux qui ont opté pour la discrétion, préférant garder leurs bonnes résolutions pour eux. C’est plus facile à vivre, ça évite d’avoir à rendre des comptes potentiels et ça permet aussi de ne pas se dévoiler plus intimement.

Vers une vie intentionnelle

Je vais vous dire pourquoi, non seulement je crois fermement aux vertus des bonnes résolutions, mais surtout pourquoi je pense qu’elles devraient être un rendez-vous incontournable avec nous-même.

Je suis arrivée à cette conclusion récemment mais c’est quelque chose que je ressens instinctivement depuis longtemps. La verbalisation de certaines évidences est parfois plus marquante qu’on imagine. On sait un truc, on l’expérimente plus ou moins et pis paf, un jour, on met des mots dessus et ça change tout.

L’utilisation de mon bujo a participé à cet état d’esprit, mais pas que. De nombreuses discussions avec mes proches aussi, des écoutes de podcasts comme celui de Change ma vie, mais également des podcasts féministes ou inspirants comme celui de La Poudre, Les couilles sur la table, In power, Vlan, et puis, bêtement, ressentir les aspects positifs dans ma vie de ces décisions, ça structure et donne envie de renouveler ces promesses qu’on se fait.

Qu’est-ce qu’une vie intentionnelle ?

C’est le contraire du pilotage automatique. La vie, je ne vais rien vous apprendre, n’est pas un grand lac tranquille. Si on doit filer la métaphore aquatique, on est plutôt dans le torrent tumultueux. Factuellement, un torrent n’est qu’un courant d’eau, tonique, puissant, qui a un début et une fin. Il se compose de tas de cailloux, petits et gros, il est habité par une faune d’êtres différents qui profitent de l’écosystème qu’on leur offre.

On peut décider de suivre le cours de l’eau en tentant de gérer ce qu’on peut. Ou inversement, prendre le temps de dompter la bête, décider d’aménager des étapes où l’eau coule s’écoule plus doucement, se poser pour virer les cailloux qui gênent et prendre soin uniquement des poissons qui nous apportent de la joie.

Pour le dire autrement, dans la vie on est naturellement tentés de suivre les chemins qui nous opposent le moins de résistance, on va vers la facilité. C’est le pilotage automatique.
Mais on peut avoir envie de moins subir, de changer son comportement pour se fabriquer un paysage qui nous ressemble. C’est la vie intentionnelle.

Les bonnes résolutions font partie de la seconde zone. Elles sont contraignantes, vont demander des efforts, des ajustements, entre ses obligations (besoins) et ses objectifs (envies). Mais ce sont aussi la source d’une joie profonde et d’un sentiment satisfaisant de contrôler sa vie.

On en parle ou pas ?

Je ne sais pas. Là encore, c’est personnel. Moi j’en parle, parce que je trouve que ça m’aide.

En parler à ses proches

Si je dis à mes proches que cette année, je veux me focaliser sur certains points, je prends un risque, mais limité.

Risque qu’ils se moquent. Possible, mais pas très impactant me concernant. Pis peu probable en réalité.
Risque qu’ils les jugent. Possible aussi, mais je suis prête à cette confrontation. Je peux me laisser convaincre par leurs arguments ou inversement renforcer mes convictions. Dans tous les cas j’y gagne.
Risque que ça les gène. Possible toujours, mais j’espère leur raconter ma vie de manière plus subtile que : “tiens, regarde, c’est mon cerveau, assieds-toi je vais te faire suer avec pendant 5h”.
Risque qu’ils ne comprennent pas le principe et les enjeux. Ce n’est pas grave, je ne pige pas tout à leurs vies non plus et ça ne m’empêche pas de les aimer pour ce qu’ils sont.

Je prends aussi la chance qu’ils les aiment, qu’ils m’accompagnent et qu’ils m’aident à tenir. Comment le pourraient-ils s’ils n’étaient pas au courant de mes pensées ? Ça fait des dizaines d’années que j’ai compris que les gens n’étaient pas télépathes. Que si je voulais quelque chose, il fallait le demander ou le faire soi-même.

En revanche, je garde tout cela spontané. Je ne fais pas de grand meeting pour annoncer mes bonnes résolutions ! Si nos discussions nous y amènent, j’en parle avec plaisir. Sinon, je papote d’autre chose. Et c’est très bien ainsi.

En parler à des inconnus

Là encore, il y a sans doute de l’impudeur à exposer des bouts de soi sur Internet ou même à des gens dans notre vie. Mais c’est comme pour tout. On fait des choix raisonnés. Si je prends du temps à vous parler ainsi, c’est parce que j’y trouve mon compte. Je remets mes idées au clair. Je lègue ces mots à mes enfants. Et je me regarde en face avec encore plus d’honnêteté puisque que je m’expose.

Comment déterminer ses bonnes résolutions ?

J’imagine que la réponse est propre à chacun alors je vais vous livrer la mienne.

Prendre le temps

Hors de question de banaliser la formulation de ces vœux.

Je réfléchis souvent à ce que je veux faire de ma vie, à la personne que je veux être et aux décisions que je prends tous les jours, qui me définissent.
Vers la fin de l’année, je rassemble la somme de mes pensées, mes notes aussi, et je commence à formuler des brouillons de projections.
Je ne recherche pas de choses factuelles comme : “je fais un régime“, “je dors davantage“, “je me déconnecte de mon téléphone“, même si il y a parfois de cela dans mes résolutions. Je cherche à dégager des grandes lignes.

Garder de la bienveillance

Je pourrais m’imposer des objectifs plus ambitieux que ceux que je me fixe, mais je n’y tiens pas. L’idée n’est pas de réussir des épreuves olympiques et de s’envoyer du waou à tout va. Je cherche des envies réalistes. Et même si c’est à la mode, je ne vise pas le dépassement de soi, au contraire, je tends vers une consolidation de qui je suis. Moi en mieux en fait. Mais pas moi avec une cape de super héros.

Écrire ses bonnes résolutions

Une fois que je sais ce qui me semble important, j’écris tout cela dans mon bujo. Je pourrais les garder en tête ou les noter dans un endroit moins visible, mais non. Pourquoi ? Pour des tas de raisons, dont voici les principales.

  • Écrire fait partie d’un processus approuvé par le cerveau, qui augmente la force des intentions. Si je dis à mon cerveau quelque chose oralement, le message passe moins bien que si je l’écris. Ne me demandez pas pourquoi, c’est de la neuroscience et c’est archi prouvé.
  • Écrire ancre les choses, ou les encre si vous préférez. C’est posé. C’est dit. Un proverbe chinois proclame : “L’encre vaut mieux que la mémoire la plus fidèle” et je crois en cela. La mémoire est plus filoute et parfois un poil arrangeante ;). Sinon, tout le monde se souviendrait que c’est lui qui a laissé trainé ses chaussettes…
  • Une fois que c’est noté, je peux relire ces bonnes résolutions. Et là aussi, ça aide. Pourquoi ? Déjà bêtement parce que ça les remet en tête. Et deuxièmement, ça titille le cerveau. Quand tu as lu 15 fois : “je veux prendre soin de mon corps”, il y a un processus qui s’enclenche en tâche de fond. Et là prochaine fois que tu hésiteras à chausser tes baskets, ce sera sans doute plus facile. Pourquoi ? Parce que si tu dis à ton cerveau que tu veux une chose, que tu le lui répètes et répètes et répètes, au bout d’un moment, toi et lui cherchez des solutions.

La bienveillance

Les bonnes résolutions, ce sont des promesses qu’on se fait. Mais attention à ne pas sacraliser ces engagements. Quand j’habitais en Chine, j’ai rencontré une personne qui m’a expliqué une différence de point de vue entre les occidentaux et les asiatiques. Je ne sais pas si c’est vrai, mais je garde l’idée qui me plait.

Chez nous, l’objectif à atteindre peut se résumer à un cercle. Dedans, il y a toutes nos envies, nos intentions, notre programme. Soit on est dedans, soit on est dehors. Il n’y a pas de demi-mesure. Et le chemin pour arriver à ses objectifs doit être le plus droit et rapide possible. On se focalise sur cette frontière, pour savoir de quel côté on est. Et on perd du sens et du plaisir au passage.

En Asie, l’objectif est représenté par un point. Tout le reste n’est que cheminement vers ce point. On peut avancer en ligne courbe, prendre du recul, profiter de la balade. On garde en vue le point à atteindre mais le chemin reste la partie la plus intéressante car il devient le sens. On se fait confiance, on s’adapte à une réalité qui n’est jamsis comme prévue. On improvise mais le point de focus reste clair :).

Putain de nana :

J’ai participé il y a quelques temps au bootcamp Shemeansbusiness, organisé par Facebook. C’était à la Défense, un rassemblement de 2000 nanas qui avaient des projets de société et qui venaient faire une formation accélérée de compétences (leadership, marketing digital, web, entrepreneuriat). J’ai pris des notes, je les ai mises au propre dans mon bullet et j’ai retenu plein de choses intéressantes. Parmi elles, une vient corroborer le petit schéma ci-dessus.

A mi parcours de la journée, Laura di Muzio, capitaine de l’équipe de rugby de Lille, est venue faire un speech qui a galvanisé la foule. Franchement, je ne suis pas une personne qui se laisse impressionner par les mots des autres. Je les écoute, je les entends, mais c’est rare que je me laisse soulever par eux. Je dois reconnaitre néanmoins que son speech était puissant. On se sentait dans les vestiaires, avec notre capitaine qui nous motivait pour aller remporter le match de notre vie. Et dans les choses qu’elle disait (à part qu’on est des PUTAINS DE NANAS, le nom de son équipe ^^), c’est le travail de fond sur la motivation qui m’a marquée. On pense souvent qu’un sportif, ce qui le fait se lever le matin, c’est l’envie de gagner. Il recherche le succès à tout prix. Et forcément, il y a de cela.

Mais c’est le sommet de l’iceberg car le succès est rare. Par “rare”, je ne dis pas qu’on ne le trouve pas fréquemment. Je signifie que si on compte en temps de vie, les moments de succès ne sont pas majoritaires. Pour un jour de gloire et de médailles, il y a une quantité monstre de jours d’abnégation, de boulot, de découragement.

Au quotidien, ce qui fait la différence, c’est la motivation de travailler. Et c’est celle-ci qu’il faut bosser. Ok, on vise le point, l’objectif, le succès. Mais on s’attache surtout à rendre le chemin plaisant, pour tenir, pour durer. On va vers ses passions, vers ses compétences, on explore ses valeurs et on part en quête de sens pour tout ce qu’on fait.

C’est quoi le rapport avec les bonnes résolutions et la bienveillance ?

Et bien, c’est la tendresse qu’on doit avoir pour soi, l’indulgence face à nos doutes, nos erreurs, nos détours.

Exemple tout bête :

Je suis rentrée de Guadeloupe un lundi matin. Le soir j’avais mon cours de muscu. J’ai décliné, argumentant que j’étais fatiguée du voyage et du décalage horaire, ce qui était vrai.
Sauf qu’à minuit, je n’étais toujours pas couchée, en train de scroller Instagram au lieu de me reposer. Je m’en suis voulue le lendemain. J’étais fâchée contre moi. Après tout, je m’étais fait une promesse de faire du sport, j’avais zappé cette promesse pour une autre promesse de prendre soin de moi. Et à la fin, je n’avais fait ni l’un ni l’autre. Deux mensonges à moi-même.

Et puis je me souvenue que j’étais humaine. Que j’avais le droit de ne pas être parfaite. Ça n’a pas signifié une seule seconde renoncer à mes objectifs. Mais juste me permettre d’être plus douce avec moi. Et de me dire : “oki, là ça ne correspondait pas à tes bonnes résolutions, mais l’essentiel c’est de marcher vers elles, tu feras mieux la prochaine fois“.

Prendre le pouvoir de son existence

Le début d’une année, comme un renouveau, est propice à ces bonnes résolutions. Mais on peut les prendre n’importe quand. Se chouchouter, s’entourer de pensées utilises à son bien-être, c’est une activité quotidienne.

En développement personnel, on parle de vie en pleine conscience. D’une existence qu’on ne subit pas. Oh, j’anticipe d’éventuelles remarques. Je n’habite pas chez les Bisounours et ma vie vire parfois à la cascade émotionnelle. Mais j’apprends tous les jours à orienter mon regard. Je cherche à canaliser mon flot de pensées, à faire du tri. Je prends de la hauteur en me demandant des choses comme : “si j’étais mon amie et qu’il m’arrivait ce truc, qu’est-ce que je me dirais ?”.
Très souvent la réponse est une variante de “Ce n’est pas grave” et “Ça va aller“. Alors je me console et m’encourage à avancer.

Je ne sais pas ce que deviendront ces résolutions. Mais je sais qu’elles sont bien mieux exposées ici, dans mon bullet journal et dans mes pensées que perdues dans le néant de ma volonté. J’ai envie de profiter de ma vie. Mes pensées sont mes meilleures amies pour faire pousser la réalité qui me plait.

***********

Je termine en vous souhaite une belle année, remplie de chemins jolis et de démarches intentionnelles. Faites de votre vie votre priorité et ça rayonnera sur tout le monde !

Je suis Cécile, slasheuse créative. J’alimente gracieusement ce blog depuis 2006. Vous pouvez aussi me suivre sur Instagram, Youtube ou Pinterest.
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Voir les commentaires

  • Moi ma résolution est de ne pas en prendre mais un peu quand même, je prends celle de vivre ma vie alignée du mieux possible avec moi même...j'ai fait un bilan 2018 ( ce que j'ai aimé, ce que j'ai appris, etc etc) et j'ai noté aussi mes intentions pour cette future année et je trouve aussi que de les noter de prendre le temps d'y réfléchir ben ça fait du bien à la motivation :-)

  • ce que c'est que le hasard (s'il existe !)... en pleine séance ménage tout à l'heure (oui, ma vie est passionnante), je ruminais les ressentis des derniers jours, des dernières conversations qui m'avaient marquées (en bien ou en mal) et ... j'arrivais à une conclusion semblable : finalement la seule chose en laquelle je crois, c'est d'être guidé par l'idée de ne pas être une victime, vivre en conscience ! Donc, bien sûr, tes mots (dont on a lu des variantes déjà, forcément, et pourtant ...) font spécialement tilt, là !! Merci d'avoir pris le temps de les formuler, c'est grâce à ces conversations accumulées (réelles ou comme ici virtuelles) qu'on avance ! Je te souhaite une belle année, dans la continuité de la précédente, sur le chemin sinueux de ta vie !!

  • Super post!! Je ne suis pas "résolutions de début d'année" mais plutôt au coup par coup! Quand je regarde derrière moi, j'ai des regrets (surtout en tant que maman, je n'ai jamais l'impression de faire suffisamment pour mes enfants....) et j'essaye d'aller de l'avant en me disant qu'il n'est jamais trop tard pour changer sa façon de faire ou de voir les choses. Ce que j'aime particulièrement dans tes propos c'est la bienveillance dont tu fais preuve par rapport à toi même et aux chemins que tu suis! Ce serais peut-être ça ma résolution pour cette année, plus de bienveillance envers moi même... en tout cas, très très inspirant ce que tu racontes, MERCI :-)

  • Moi, jai une résolution toute simple : semer au moins 1 petit bonheur par jour. Dimanche, en ballade avec les 3 grands, on a posé 8 boiboites de geocaching. Eh bien c'était drôlement chouette, et puis lundi matin, une férue de geocaching les a trouvées et était super contente.... contrat rempli !!! Bonne année ?

  • Meilleurs voeux !
    Je crois que j'ai pris de bonnes résolutions il y a déjà quelques temps et que depuis je chemine en m'accordant avec moi même et en ajoutant des petites choses sur mon chemin, comme des petits défis ou surprises c'est selon, au fil de la vie.
    Je ne sais pas si tu as lu (mais il est en attente de réimpression) ce livre : https://www.livredepoche.com/livre/un-petit-pas-peut-changer-votre-vie-9782253016496
    C'est bienveillant et ca permet d'avancer avec indulgence envers soi-même.
    Merci pour ton post, j'aime lire les avis au sujet des résolutions de début d'année...
    Bonne soirée

  • J'aime ta façon de t'exprimer, ta façon de penser, cette recherche d'amélioration mais avec bienveillance envers soi-même ^^
    J'ai tendance à faire pareil mais j'ai moitié moins de courage, d'énergie et de volonté que toi (et moitié moins d'enfants aussi lol) Donc je t'admire d'une façon douce et amicale, tu fais partie des personnes qui m'inspirent et je voulais donc te remercier pour le temps que tu prends à partager tout cela avec nous :) J'aurais envie de te prendre dans mes bras, de te claquer la bise et de te dire que je te kiffe grave ^^
    Continue ton chemin, il est bien joli ton cour d'eau <3
    bisous tout doux.
    Sophie

  • Très joli texte qui me parle énormément.
    Pour ma part je suis bien loin de ce cheminement. Je pense qu'il faudrait que je commence à me poser pour penser à ma vie. Mais putain c'que ça me fait peur ! J'ai tellement peur de ce que vais decouvrir ...
    J'espère avoir bientôt le courage de le faire et d'être enfin aussi apaisée que tu sembles l'être !
    Merci pour ce post.
    Bonne et heureuse année. ?

  • Résolutions prises mais personne au courant car je veux pas rendre des comptes qu'à moi même et je veux pas de reflexions "bin je croyais que tu devais .... tu vois les résolutions du 1er de l an ça sert à rien ! "
    J ai fait mon bilan 2018 dans mon bullet et mes résolutions et envies pour 2019.
    J ai aussi mis en place.un tracker pour ma résolution quotidienne.

  • J'ai pleuré... en te lisant, j'ai ressenti ton texte comme des paroles de soutien. Merci. Merci infiniment . Un début d'année catastrophique, une rupture ,un décès, je ne sais pas si je m'en remettrai, mais merci pour ces lignes qui m'ont fait croire un instant que des gens peuvent être heureux et ont envie de vivre sereinement.

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