Le ca va profond ou le deep okayness, le bonheur autrement

Le “Ça Va” profond, ça vous parle ?

Je vous ai déjà partagé une formule qui est ma réponse préférée à la question : “Comment vas-tu ?”. Je réponds désormais ce qui me semble le plus juste : “Je vais bien plusieurs fois par jour“. Je vous avais détaillé largement dans cet article de janvier 2022 d’où ça venait et pourquoi j’avais adopté cette expression.

Aujourd’hui, j’ai envie de vous parler du Ça Va. Pas celui qui, tel le Janus de la conversation, peut débuter ou clore un échange :

  • Ça va ?
  • Ça va.
    Bien, bien, bien…

Pas celui-là donc. Celui qui m’intéresse, c’est le “Ça Va Profond” !

Avant d’approfondir, impossible de faire l’impasse sur la blague du “ça va profond”… Parce que ça va loin ^^ ! Non seulement j’assume mais en plus, j’aime bien ces couches d’oignon supplémentaires.

  • Côté allusions sexuelles, je ne suis pas la dernière sur le sujet, je n’ai ni peur ni honte du sexe. Je suis de la team souriante et décomplexée. Même je ne suis pas sûre que ça aille toujours quand ça va profond…
  • Côté philo de comptoir, aller loin dans ses réflexions, dans sa vie, dans son bien-être, etc., je valide aussi.
  • Enfin, on peut terminer par le côté longueur, terre à terre, c’est mon préféré. J’aime le temps long, les horizons, la distance (bien plus que la hauteur). Je bosse tous les jours à changer la définition du succès dans laquelle j’ai évolué. Moins de hauteur, plus de longueur. Durer au lieu de monter dans la hiérarchie.

Voilà… Maintenant qu’on a rigolu, je vais développer.

Qu’est-ce que le Ca va Profond ?

Le “Ça Va Profond” est un cousin du “Ce que je suis suffit“.

C’est une expression que j’ai entendue une seule fois dans un podcast (mais lequel ???) il y a très longtemps et que je n’ai pas cherché à sourcer depuis. Je me suis immédiatement appropriée le concept qu’elle m’évoquait et c’est tout. En écrivant cet article, j’ai tenté de retrouver son origine. Je me souvenais que l’expression était anglaise et que c’était moi qui l’avais traduite en “Ça va Profond”. J’ai tapé “deep okay”… parce que je ne suis pas bilingue ^^ ! J’ai fait plouf. J’ai tapé des tas d’autres trucs, etc… je vous la fais courte, la vraie expression, c’est : “Deep okayness”.

Je n’ai pas l’impression que ça sorte d’un livre ou je ne sais quoi. Je n’ai pas non plus trouvé d’auteur et à l’heure où j’écris, mon état de fatigue est tel que je ne vais pas creuser davantage. C’est une newsletter hein, pas une thèse. Tant pis pour les sources et le sens historique, je vais vous expliquer simplement ce que ça m’inspire à moi. Vous en ferez bien ce que vous voulez.

En ce moment, rechercher l’état de “Ça Va Profond”, c’est mon objectif de santé mentale. Au lieu de viser un état de bonheur absolu, aussi illusoire qu’impossible à expérimenter, je place l’aiguille vers un état de “ça va” profond. Je ne sais pas bien le définir en quelques mots alors je vais vous rassembler ce que je mets derrière, en creux.

  • Ce n’est pas une moyenne, un truc tiède, situé entre le bonheur et le malheur, les hauts et les bas. Non, c’est une zone que j’imagine proche de celle de la félicité, où je me sens bien. Je sais que les problèmes existent, que je pourrais être mieux. Mais je me sens bien et ça va…
  • Ce n’est pas un équilibre fragile. C’est même plutôt une zone bien large de bien-être non exploitée. Je me fiche de la binarité simpliste de la santé mentale. Dans le “Ça Va Profond”, j’accepte et explore toutes les émotions, qui sans être extraordinaires, accompagnent une vie douce.
  • Ce n’est pas universel. La bulle de mon Ça Va Profond diffère de la vôtre. J’aime cette approche plus nuancée et personnalisée de la santé mentale où une joie n’équivaut pas à celle des autres.
  • Aucun jugement d’autrui ne peut y entrer, car cet état est de l’ordre du ressenti. Par exemple, si je suis devant un feu de cheminée, je suis dans un état de Ça Va Profond. Personne ne peut m’enlever cela, personne n’y a accès. Et qui pourrait m’imposer un bien-être différent ?
  • Ce n’est pas un état d’exaltation irréaliste, mais une amélioration de ma qualité de vie tout en maintenant des habitudes de vie normales. Je ne fais pas de morning routine, je ne change pas mon quotidien. Simplement, je repère et collecte les moments de “Ça Va Profonds”.
  • Ce n’est pas de la naïveté, je suis toujours consciente de ma souffrance et de celle du monde, c’est juste que je m’applique à la percevoir d’une manière moins personnelle, moins menaçante.
  • Ce n’est pas une quête de perfection, c’est plus une acceptation de l’imperfection. C’est une pause où je cesse de lutter contre moi-même, contre mes échecs, mes peurs… Je me regarde, je regarde ma vie et je tente de relativiser, de ressentir que ça va. Ça va vraiment.
  • Ce n’est pas facile. Je ne suis pas en train de vous parler de magie, du pouvoir du moment présent, ou d’un carnet de gratitude… Parce que oui, quand c’est difficile, la vie est difficile. Le Ça Va Profond, quand tu es malade, quand tu as des problèmes d’argent, quand ton futur est incertain et tes émotions cataclysmiques, ce n’est pas facile de le laisser gagner.

J’avais envie de vous partager cette notion, qui m’aide à traverser parfois des turbulences. Je me dis qu’elle pourra résonner chez vous à certaines occasions. J’y trouve un gain de sérénité, que j’associe à cette curiosité pour mon voyage d’humaine.

C’est déjà bien non ? Vous me direz ce que vous en pensez.

Je vous souhaite des tonnes de moments de Ça Va Profond !

leçon de vie : je vais bien plusieurs fois par jour. C'est le ca va profond.

Partage de Pépites

Du sport extrême, de l’argent facile et cruel, de la cuisine gastronomique… Ca part dans tous les sens niveau recommandations cette semaine !

Épisodes de Podcasts :

  • Dans l’enfer de la Barkley, avec Aurélien Sanchez
    Podcast Les baladeurs (Lien spotify)
    La semaine dernière Jasmine Paris a été la première femme à venir à bout de la Barkley qui est la plus terrible des courses d’Ultra-trail. Elle a fait l’histoire comme on dit et son exploit est DINGUE ! On parle d’une épreuve de 100 miles et de 20 000 m de dénivelé positif dans le Tennessee (États-Unis). Je ne cours plus et le trail extrême ne figure pas dans la liste des sports qui m’attirent, mais je me souviens encore de l’écoute passionnante de cet épisode de podcast, qui raconte l’enfer de la Barkley. C’est le français Aurélien Sanchez, finisher l’année dernière, qui nous y partage cette aventure incroyable dans l’épisode 71 que je vous recommande. A la fin de l’écoute, je crois que vous apprécierez encore mieux l’exploit que Jasmine Paris, vétérinaire et chercheuse anglaise de 40 ans, vient d’accomplir. C’est FOU ! Avant cet ultra trail, un de ses plus grands faits d’armes était d’avoir remporté la Montane Spine Race : 430 kilomètres en 83 heures, 12 minutes et 23 secondes. Elle avait alors surpassé le premier homme, Eoin Keith, de plus de 15 heures ! Le tout en tirant son lait lors de quatre des cinq checkpoints, pour éviter une mastite – inflammation des seins liée à un drainage insuffisant du lait maternel…
    Bref, gros gros gros respect pour cette femme !
  • 5000€ par mois, sur OnlyFan. Lola, trop jeune, trop riche, trop mal…
    Podcast Thunes (Lien spotify)
    Pour comprendre cet épisode, il faut que je vous présente Only Fan, une plateforme où les gens peuvent payer pour du contenu (photos, vidéos et flux en direct) via un abonnement mensuel. Autant vous dire que c’est un eldorado pour le contenu de cululu… C’est là que Lola a atterri au sortir de son adolescence, là où elle s’est dénudée et là où elle a gagné des sommes folles. On l’écoute raconter son parcours, les phénomènes d’emprise, son rapport à l’argent, la problématique de la masculinté toxique… Enfin, c’est moi qui vous le synthétise avec ces mots-là. Lola, elle, c’est juste une gamine paumée dont on espère qu’elle s’en sortira un jour.
    C’est en tout cas un témoignage intéressant, surtout si on a des ados.
  • Le goût de Pierre Gagnaire
    Podcast Le goût de M (Lien Spotify)
    Pierre Gagnaire, vous connaissez ? C’est un des chefs étoilés français, il est né en 1950 et est célèbre pour son approche iconoclaste de la cuisine, se plaçant à l’avant-garde du mouvement de la fusion culinaire. C’est super intéressant de l’écouter se raconter. Ce qui m’a plu, c’est son amour des mots, ceux qu’on lit, ceux qui soignent, ceux qui font réfléchir. J’ai aimé qu’il parle avec amour de sa compagne (ils ne sont pas si nombreux les mecs connus qui retournent la lumière vers la personne qui les accompagne).
    Et puis, d’un point de vue gustatif, j’ai eu l’impression qu’il était d’accord avec ma façon de cuisiner, peu épicée. Moi j’aime le goût naturel des choses. J’accepte que certains produits soient fades, acides, sucrés, farineux, gluants… Je ne cherche pas à tout rehausser ou camoufler à coup de poudre de perlinpinpin. Lui, il cuisine visiblement avec peu de condiments et c’est ce qui lui a valu ses étoiles. C’est inspirant.

Allez, on enchaine avec les lectures ! De la fantaisie, du témoignage de violence, de la BD militante au programme !

Livres :

  • Le prince Cruel – de Holly Black
    Roman fantaisie aux éditions Rageot
    J’ai hésité à vous présenter cette série de 3 (gros) opus, tant ils me semblent avoir été plébiscités par tout le monde. Mais après tout, ceux qui l’ont lu sauteront le paragraphe et les autres auront une chance de tenter la lecture de cette trilogie bestseller mondial.
    L’histoire ? Jude et Taryn, des jumelles humaines sont enlevées à leurs parents biologiques et emmenées à Terrafae, dans la haute-cour du royaume de Domelfe. Dans cet univers inspiré du folklore habituel des fées (faes), pixies, merrows et autres gobelins, elles apprennent de 17 ans à vivre selon les codes (assez violents) de la société de Terrafae. On suit surtout la vie de June, qui se forge selon les enseignements de son père adoptif : stratégie guerrière, maniement des épées, mode survie…
    Et puis arrive le prince Cardan, cruel, tyrannique et pour autant intriguant. La suite est un mélange savamement mené d’intrigues à la cour royale, d’espionnage, de meurtres et d’amour ! Holly Black maitrise son art et phénomène assez rare, les deux derniers livres sont meilleurs que le premier.FFFCEF
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  • Triste tigre – Scarlett ST. Clair
    Roman des Editions Hugo Roman

    J’ai failli mettre ce livre dans la partie podcasts, car je l’ai écouté et non lu. 7h d’un récit conté par l’autrice elle-même, sur son passé d’enfant incestée. Il se trouve que je travaille beaucoup sur les violences intrafamiliales dans ma vie, alors parfois, me rajouter de la lecture sur le sujet ne m’enthousiasme pas des masses. Mais j’avais entendu tellement de bien de ce bouquin que j’ai pris mon manque d’enthousiasme à deux mains et j’ai appuyé sur lecture. Je ne regrette pas. Et le livre, et l’écoute audio. Entendre les mots d’une écrivaine de sa propre voix, c’est profiter du “ton”, c’est un supplément d’intention. Mais même à l’écrit, je pense que j’aurais apprécié d’une autre manière le fond et la forme ! L’inceste y est traité de manière magistrale, sans voyeurisme, éclairé sous toutes ses facettes psychologiques. Ca parle aussi de sublimation de ce qu’elle a vecu. Est-ce possible de parler, d’écrire, de faire de l’art avec un tel passé de violences ? Bref, que ce sujet vous intrigue ou non, si vous devez vous lancer dans un livre qui en parle, celui-ci me semble idéal parce qu’il est intelligent, intéressant et très joliment écrit.
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  • Les poils de la colère – Vicdoux
    BD des Editions Lapin
    On suit les réflexion de Vicdoux, 13 ans, qui découvre la différence de traitement des poils des filles et des garçons. La joie d’en avoir, la honte qui arrive rapidement après et puis les années de lutte à les faire disparaitre… ou les accepter ! C’est drôle, facile à lire, très court… Parfait à mettre dans les mains des ados mais aussi des adultes. C’est ma mère qui me l’a conseillé d’ailleurs. Qu’on milite pour les avoir ou les virer, les poils sont politiques et c’est une bonne chose d’en avoir conscience.
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conseils de lecture ciloubidouille

Mon quotidien

Les coulisses du Podcast :

Non seulement je vais lancer mon podcast (j’estime le premier épisode potentiellement dans vos oreilles en juin) mais en plus, je me construis actuellement une pièce dédiée à ce projet. Les travaux sont à mi-parcours. La structure est faite. Maintenant, place à la décooooo !
Vous allez me dire que se fabriquer une pièce juste pour son activité Podcast, c’est un peu beaucoup… Je suis bien d’accord. Mais c’est oublier que je suis entrepreneuse et que forcément, je vais la louer à qui en a besoin :).

studio de podcast ciloubidouille

Création de mon bundle

Mon mot clé de l’année, c’est Ruissèlement. Vous pouvez lire tout ce que je place derrière ce mot dans mon article Bilan mais pour faire court, cette année, j’ai décidé de redistribuer autant que je peux les bénéfices de ma vie. Et dans le mot bénéfice, je mets dedans mon temps, mon savoir-faire, mon argent, ma visibilité, etc… J’essaye à ma manière d’être une ressource pour les gens qui m’entourent, vous inclus.
Le projet de bundle qui m’occupe actuellement va exactement dans ce sens. Je ne sais pas si vous vous souvenez mais en octobre dernier j’avais participé à une opération sympa qui proposait des dizaines d’ebooks pour un prix dérisoire. Je trouve ces packs hyper cools car ils rendent accessible un tas de contenus pour un prix avantageux. Sans parler qu’ils permettent de soutenir la personne qui donne habituellement son contenu gratuitement. C’est le fameux gagnant gagnant. Tous les humains de cette ronde ont des bénéfices.

Cette année, j’ai décidé de lancer ma propre opération, accompagnée de mon amie Sandrine (la magicienne des loupiottes Vintage éco-responsables). Je vous en reparlerai bientôt car potentiellement, vous allez pouvoir aussi profiter de ce bundle (= le nom américain officiel de ces packs ^^).
En attendant, regrouper des créatrices de qualité, c’est ce qui m’occupe et croyez-moi, je ne chôme pas.

Atelier dans un collège + avec des séniors

J’ai passé du temps ces dernières semaines à animer des ateliers créatifs avec des séniors et des collégiens. C’est rigolo de retrouver des problématiques de créativité similaires, peu importe l’âge. L’éternelle question est : “est-ce que je peux faire ceci ou cela”… Souvent je les interromps par un OUI. Ils me regardent en mode heu… je n’ai pas fini ma question. Je leur précise que je vais répondre oui à tout ce qu’ils ont envie de tester. Parce que c’est justement ça qui est génial dans un atelier créatif, suivre son envie ! Au début, ils reviennent avec leurs questions. Je les interromps à nouveau : OUIIII !

Et à la fin, je les observe. Ils ont gagné en autonomie, en joie.
Ils ne sont plus scolaires. Ils sont solaires.

C’est quoi ton problème ?

C’est la réflexion sur la créativité ci-dessus qui m’a donné envie d’affiner ma compréhension des freins qui bloquent VOTRE créativité. Quel est votre problème pour ne pas être aussi créatif que souhaité ? La place ? Le temps ? L’argent ? L’année dernière, vous aviez répondu à un sondage à ce sujet et voici le résultat des 400 réponses. En haut des raisons/excuses, ce qui vous empêche, c’est le temps, ensuite la confiance et la pratique.
J’ai hyper envie de rebondir sur tous ces poins en vidéo, pour vous aider en vous partageant mon avis et mes astuces si j’en ai :). Alors si vous avez des précisions à m’apporter en retour de mail, je prends !

sondage : pourquoi je ne suis pas plus créatif

Comment retrouver les anciennes CiloubiNews ?

J’ai bossé pour ceux et celles qui veulent lire les premiers opus de mes CiloubiNews,. Hésitation avant l’abonnement, envie de les découvrir ou les relire ? C’est désormais facile en cliquant dans l’onglet Newsletter de mon blog.

HelloFresh :

J’ai envoyé toutes mes boxes gratuites. Maintenant je n’ai plus que mon offre de parrainage en stock ! Si ça vous intéresse, vous pouvez cliquer ici pour avoir des réductions (90 € de réduction).


Boxes créatives de printemps !

Elles sont en train de partir ! Et mon atelier est dans un beau bordel ^^
Mille mercis à tous ceux et celles qui m’ont soutenue dans ce projet. Je crois que cette box de printemps est ma préférée !

Récemment sur Ciloubidouille

Un peu de lecture en rab ? J’ai été pas mal occupée ces dernières semaines, je ne sais pas trop si ça transparait dans ce que je vous raconte. Donc le temps que je prends pour mettre en ligne les CiloubiNews, je ne l’ai plus pour rédiger des articles…

comment utiliser des patchs brodés pour réparer ses habits

J’ai trouvé juste le temps de vous partager mon tuto broderie pour les nulles ! Avec des patches (et les adresses pour les acheter donc). J’en ai profité pour vous montrer d’autres exemples :).

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cookies de pâques

Pâques approche alors je recycle les articles qui peuvent vous servir. Ici c’est un immense cookie, méga trop bon, en forme d’œuf de Pâques. Hyper facile à faire. Gros succès !

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Il y a quelques temps sur Ciloubidouille

Et si on replongeait dans d’anciens articles ? Ils sont souvent toujours d’actualité… Comme un vieux bouquin !

oeuf poisson de paques

On continue sur Pâques, mais rayon déco. Voici une façon super mimi de décorer vos oeufs pour les transformer en poissons d’avril !
Petits et grands vont adorer cette activité !

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WEB IMG 6018

Pour changer de la chasse au chocolat classique, si vous chassiez les carottes sauvages ? Elles se planquent bien parce qu’elles sont dodues et très gourmandes : tout le monde veut croquer dedans.

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Et voilà… C’était la cinquième Ciloubinews. Cette semaine a été folle et celle d’avant était bien dense aussi. Ca explique pourquoi j’appuie sur le bouton envoyer très tardivement. J’attends avec impatience vos impressions sur mon partage du Ca va profond.

Je suis Cécile, slasheuse créative. J’alimente gracieusement ce blog depuis 2006. Vous pouvez aussi me suivre sur Instagram, Youtube ou Pinterest.
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