J’ai vu passer une publication de @marieyoupie qui avouait qu’elle ne connaissait pas l’odeur du mimosa malgré sa popularité et sa ferveur instagramable. Quoi, elle ne connait pas le mimosaaaaaa ? ^^
J’ai souri avec tendresse parce qu’effectivement, il y a des choses comme ça qui font partie du kit du petit influenceur. Certaines fringues (combinaisons des Lunes), certains produits cosmétiques, ésotériques, écologiques, certaines fleurs (pivoine, œillet, lilas…), voire certains champs (lavande, tournesol) qu’on retrouve PARTOUT.
Ça se ressent aussi dans les vidéos. On montre du doigt des textes qu’on rajoute au montage, on dit comment on nous appelle pour expliquer nos rôles (maman, épouse, boss girl…), on fait les italiens avec nos mains pour montrer ce qu’on aime, on enchaine les squats sur Beyoncé pour… heu là j’avoue je n’ai trop compris l’objectif, juste que c’est rigolo… (avez-vous repéré ces tendances vidéos ?)
Je ne sais pas trop si on peut se détacher de tout cela, ni même si c’est l’objectif ultime de la réalisation personnelle. Quand je parle création de contenu avec mes clients, j’aborde forcément ces problématiques. Faut-il faire partie du mouvement, s’en détacher ? Perso, je trouve toujours que la question est mal posée. Quand on construit un business, c’est quelque chose de personnel. La personne qui monte sa boîte est à la base de tout et influence tout. La preuve ? Tu confies un business à 10 personnes différentes, tu obtiens 10 business différents.
Moi je trouve que c’est une excellente nouvelle.
On a toujours l’impression fausse qu’un marché est « neutre ». En gros, qu’il y a des produits, des acheteurs et qu’un entrepreneur est un passe-plat. Sauf que non…
3 paramètres changent tout :
- Qui on est,
- ce qu’on connait,
- qui on connait
C’est dans notre individualité que prend racine la réelle puissance de notre activité. Alors la question n’est pas tant de savoir ce qu’on doit poster ou quelles sont les tendances qui fonctionnent. C’est (contre-intuitivement) de savoir QUI on est :). Et par extension ce qu’on a envie de partager avec la planète. Ensuite, l’audience, les followers, les likes et tous les égo-trip des statistiques, c’est comme la vie dans Jurassic Park… ils trouveront toujours un chemin (vers les gens qui aiment qui on est).
Pas de magie, pas de truc et astuces, pas de raccourcis… du travail, de la connaissance de soi, des actions. Et du travail. J’ai oublié le travail ?
Bref… vive nous. Et vive le mimosas !
PS : à la question moult fois posée sur Instagram, mon vase fille qui fait des bulles vient d’Aliexpress. Je l’ai acheté il y a longtemps mais on peut le retrouver facilement. Attention aux tailles, certains vases sont tout minus :).
PS : l’autre question, ce sont les petits persos posés devant le vase. Il y en a un acheté (le blanc) et un autre bricolé avec de l’argile autodurcissant. L’article sur ces créatures fleuries est dispo depuis le confinement.
Je suis Cécile, slasheuse créative. J’alimente gracieusement ce blog depuis 2006. Vous pouvez aussi me suivre sur Instagram, Youtube ou Pinterest.
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2 Commentaires
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j’ai un mimosa ds le jardin
et en fille du Sud ….
donc pour ça … c’est ok
Y’a pas photo, le mimosa c’est beau 🙂
Merci de partager tes conseils… Je suis aujourd’hui très convaincu qu’il faut d’abord et avant tout chercher à être soi-même… Ce qui est tout un programme en soi ^^