Coach en visibilité ?digitale : aider à dépasser ses peurs

J’aide les gens qui doutent – et je les aime aussi

Depuis 4 ans que j’exerce mon métier de coach en visibilité digitale, j’ai remarqué un truc marrant. Les gens qui me contactent sont souvent fâchés avec Instagram, Facebook et Cie… Ils sonnent à ma porte parce qu’ils pensent qu’ils n’ont pas le choix. “IL FAUT ÊTRE SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX !” Ils sont comme coincés. Leur croyance est que pour avoir un business florissant, il faut en passer par là. Et je sens bien que ça les saoule.

Bref, ils se tournent vers moi, un peu chonchon, pour que je leur explique les règles du jeu, les bonnes pratiques, les trucs et astuces, que je leur fasse le grand TUTO des réseaux sociaux qui va les sauver de leurs freins et faire des miracles sur leur volonté.

coach en visibilité digitale et en réseaux sociaux

Mon travail de coach en visibilité sur les réseaux sociaux

Me contacter, c’est le premier pas qu’ils s’autorisent pour cocher la case “je vais bien arriver à être sur Insta quand même“. Ils demandent de l’aide à un ami (ou à un coach en visibilité ^^). Ils espèrent acheter un mélange d’explications et de magie.

C’est con parce que ce n’est jamais par là que je commence mes coachings. Je ne distribue pas les bons points, je n’ai pas la vérité absolue, je ne suis pas la grande évangélisatrice d’Instagram ou de Facebook. Ce n’est pas ça mon métier.

Simplement j’ai beaucoup de tendresse pour ceux qui osent venir chercher de l’aide, malgré leurs doutes et leurs agacements divers. Je les observe venir à moi à reculons. Je les écoute me raconter que les réseaux sociaux, c’est le mal, que ça leur fait perdre leur temps, qu’ils ne pigent rien, ni ce qu’il faut faire ni à quoi ça sert. Tout ça calés au fond de leur fauteuil, les bras croisés, l’air de me dire un peu navré : “démerde-toi avec ça”.

Aucun souci les amis. Moi j’entends à la fois une forme de colère et de frustration. Et je la comprends parce que oui, c’est un aspect de leur travail qui peut être vu comme aliénant et chronophage. Parce qu’avant d’être coach en visibilité, je suis créative de contenus depuis 2006. Des publications, j’en ai des milliers à mon compte. Alors oui, je vois bien que la seule magie qui existe, c’est mon travail…

Et puis, doucement, je leur démontre que des chemins de joie sont possibles.

On peut apprendre à créer du contenu avec bonheur, on peut aimer prendre ce temps pour soi et se pencher sur ce qu’on veut partager avec le monde, on peut se détacher de la pression des chiffres ou du résultat, du jugement du regard des autres, pour se concentrer sur l’humain qu’on veut être.

Instagram, Facebook et toutes les plate-formes populaires ne sont que des outils. Ni méchantes, ni gentilles, elles reflètent ce que nous leur donnons. Je trouve que c’est une bonne nouvelle car on peut paramétrer ces outils pour qu’ils correspondent davantage à nos usages et à nos envies.

Perso, quand je me rends sur Insta, c’est un chouette moment. Je lis des personnes inspirantes, j’admire le travail des autres. J’apprends sur des cultures lointaines, je profite des expériences qui me sont inaccessibles, je milite, je m’éduque, je pleure, je ris… Je me suis désabonnée de tout ce qui ne me convenait pas pour me fabriquer un espace sain qui me fait grandir.

Pour bénéficier de tout cela, il faut des gens qui racontent leurs histoires, qui partagent le fruit de leurs réflexions, de leur travail, de leurs valeurs. Il faut des gens comme mes clients.

Le doute est sain

Il faut des gens qui doutent, qui s’interrogent. Des gens qui ont un savoir faire et qui voudraient le faire savoir. Des gens qui veulent créer de la valeur même si ils ne savent pas vraiment comment la partager.

Certes, quand ils toquent à ma porte, ils sont méfiants. Mais jamais ils n’auraient pris la décision de m’écrire si il n’y avait pas de l’envie. L’envie d’échanger sur leurs croyances, l’envie d’aider les autres avec leurs compétences, l’envie de participer au monde qu’ils veulent voir grandir.

Alors moi, je fais du jardinage avec eux. Je commence par tailler les pensées négatives envahissantes et j’essaye de laisser de la place pour leurs envies. Je leur dis qu’il existe un chemin pour que le soleil des plateformes les aide à se développer, sans qu’ils ne perdent leur âme.

  • Je sais qu’on peut se rendre sur ces “outils du diable” et que tout se passe bien.
  • Je sais qu’on peut s’organiser pour créer du contenu intelligent, humain, efficace sans y passer tout son temps et son énergie.
  • Je sais qu’on peut avoir une utilisation des réseaux maitrisée où on contrôle ce qu’on veut partager, où il n’y a aucune obligation de se montrer et encore moins de faire comme les autres.
  • Je sais que les réseaux sociaux peuvent être le lieu d’une résilience, un endroit sûr où on dépose le meilleur de soi, pas pour écraser l’autre mais pour lui tendre la main et l’inviter à profiter des échanges.

Faites des réseaux votre livre personnel. Écrivez-le, page par page, pensées après pensées. Faites de vos comptes insta, facebook, linkedin des lieux de créativité.

Car ça peut être une des façons les plus efficaces et plaisante de raconter votre histoire.

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Si vous faire accompagner par un coach en visibilité comme moi vous intéresse, n’hésitez pas à me contacter pour m’expliquer où vous en êtes.

Et si vous avez besoin d’en savoir plus sur mon accompagnement en stratégie de contenu, j’ai rédigé quelques explications sur mon travail de coach en réseaux sociaux. Vous pourrez lire également les avis de mes clients par ici.

Pour suivre mes pensées, vous pouvez au choix me suivre sur le compte insta de l’Atelier des intentions où j’exerce à la fois comme coach en visibilité digitale et coach en créativité. Ou lire ici les articles plus complets qui parlent de mes valeurs et de vie intentionnelle :

Histoire de la créativité

Je retrace l’histoire de la créativité qui n’a pas toujours le sens et la place qu’on lui connait actuellement.

histoire de la créativité

On parle procrastination ?

Ahhh la procrastination ! Problématique universelle. Dans cet article, je fais un peu le point et propose de regarder tout cela avec des angles différents.

procrastination et créativité

Nos pensées limitantes liées à la créativité

Et si on parlait de ce qui freine notre créativité ?

freins à la créativité

Je vais bien plusieurs fois par jour

Pour finir, un article sur la vie intentionnelle que j’affectionne qui parle du regard qu’on peut poser sur la vie.

je vais bien plusieurs fois par jour

Et voilà pour cette fois ! Bonne lecture et au plaisir de vous lire à mon tour. Vos réactions sont les seules gourmandises que je surkiffe et qui ne me font pas grossir.

 

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